Publicado Oct 15, 2008



PLUMX
Google Scholar
 
Search GoogleScholar


André Lipp Pinto Basto Lupi

##plugins.themes.bootstrap3.article.details##

Resumo

Entre la volonté des États à la source des obligations internationales et le besoin de la securité juridique, la Convention de Vienne sur la Succesion d’Etats en matière de traitès a eu la difficile tâche d’en trouver un équilibre. Treinte ans après sa conclusion, l’adhésion des États à ses règles n’est pas satisfactoire. Pour la plupart du globe, la question demeurre reglè par la coutume. Alors, la confirmation du caractère coutumier des règles de la Convention doit venir d’un examen de la pratique. Cet article réflexion a la pretention de faire cette confrontation. Pour démontrer notre argument, nous commençons pour l’analyse detaillée de tous les aspects de la Convention, divisés en deux cercles superposés : le contenu du traité et la forme de la succession. Le jeu de règles génerales et exceptions sera composé à partir des combinations entre ces deux cercles. L’article degage cette structure et après compare les règles de la Convention avec la pratique, en suivant la même méthode et les mêmes typologies. La conclusion est plutôt negative, parce que la pratique est dissonante de la Convention dans les cas d’incorporation, de séparation et de secession d’États. La situation est différente en ce qui concerne la dissolution, la fusion et la décolonisation. 

Keywords
References
Como Citar
Pinto Basto Lupi, A. L. (2008). QUEL EST L’ÉTAT DU DROIT COUTUMIER EN MATIÈRE DE SUCCESSION D’ÉTATS AUX TRAITÉS?. International Law: Revista Colombiana De Derecho Internacional, 6(13). Recuperado de https://revistas.javeriana.edu.co/index.php/internationallaw/article/view/13903
Seção
Artículos